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Une histoire par jour

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zec Une histoire par jour

Message  Invité Jeu 27 Oct - 9:15

coucou,

:qpq:


Je viendrai chaque jour raconter une histoire :

Jeudi 27 Octobre 2005

Les deux amis et le platane

C' etait midi, en plein été, Jean et Jacques se promenaient dans la compagne ensoleillée. Ils étaient fatigués et mouraient de de chaleur, quand il virent à l'horizon un grand arbre, le seul de la plaine :
-Voilà un endroit pour nous arrêter, dit Jacques à son ami. Il vaut mieux attendre que le soleil décline avant de reprendre notre marche.
-Bonne idée ! dit Jean.
Une fois arrivés sous l'arbre, les deux amis posérent leurs sacs, en, sortirent leur repas, mangerent, burent, et firent la sieste.
-Quel est cette arbre? demande Jacques à son ami.
-Un platane, repond Jean qui s'y connaissait
-Ah!, un platane ! dit Jean. De grande feuilles, un tronc robuste. Quel dommage que ce soit un arbre qui ne donne pas de fruits qui se mangent. En fait , il ne sert à rien.

"Quel ingrat ! pensa le platane qui, comme beaucoup d'arbres, était capable de comprendre le langage des hommes. Il est ici à se raffrechir et à se reposer à l'ombre de mes branches et, au lieu de me remercier; il fait des discours pour dire combient je suis inutile ! "

Et les feuilles du platane frissonnérent d'indignation !

à demain pour une autre histoire 8ee

Bisous
Dotie flower


Dernière édition par le Mar 16 Jan - 9:55, édité 1 fois

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Ven 28 Oct - 8:50

Coucou,

:qpq:


Vendredi 28 Octobre 2005

Neigeblanche et Roserouge

Il etait une fois une veuve qui avait deux filles, si belle qu'elle les avait appelées Neigeblanche et Roserouge, en pensant aux fleurs des deux rosiers qui poussent dans son jardin. Elles etaient si bonne que tout le monde les aimait, même les animaux de la forêt qui etaient leurs compagnons de jeux.
Un soir de neige, quelqu'un frappa à la porte de la cabane où elles habitaient. C'atait un ours énorme et les deux soeurs eurent tres peur. Mais l'animal les rassura :
-Ne craignez rien; je suis presque mort de froid et je voudrais juste me réchauffer un peu !
Les jeunes filles le firent asseoir pres du feu et brosserent sa fourrure pour enlever la neige. Puis ils se mirent à jouer ensemble et devinrent les meilleurs amis du monde. l'ours revint tous les soirs mais, au printemps, il dit aux deux soeurs :
- Adieu amies, il faut que je parte défendre mon tresor contre les nains et je ne sais pas si l'on se reverra !
Ce fut un triste adieu. Le temps passa et un jour, Neigeblanche et roserouge allerent ramasser du bois dans la forêt. Elles trouverent une grotte et y entrèrent. Il y avait là les plus beaux tresors que l'on puisse imaginer. Soudain, rugit un nain qui leur dit :
-Vous m'avez épié ! Eh bien, vous ellez etre punies !
Mais il avait à peine fini sa phrase qu'un ours énorme entra dans la grotte et d'un coup de patte l'assomma. Puis l'ours dit :
-Neigeblanche, Roserouge, n'ayer pas peur, c'est moi, votre ami !
Au même instant, la peau noir et velue de l'ours tomba sur le sol et un jeune homme tout vetu d'or apparut.
-Je suis le fils du roi, leur dit-il. Mais le nain, qui m'avait volé mon tresor, m'avait jeté un sort. maintenant qu'il est mort, je suis libéré !
C'est ainsi que Neigeblanche épousa le prince et Roserouge son frère. Et elles emmenèrent leur vieille mère vivre avec elles, au palais.

A demain pour une autre histoire

Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Sam 29 Oct - 11:13

Coucou,

:qpq:

Samedi 29 Octobre 2005 fif

La Sole jalouse

Les poissons en avaient assez du desordre qui régnait dans la mer. Pour y mettre Bon ordre, pensérent qu'il leur fallait un chef :
-Celui qui negera le plus vite sera notre chef !
déciderent-ils. La course fut organisée et. des le départ, tous se présipitérent et nagerent à tout vitesse en éclaboussant tout sur leur passage. Même la Sole était parmi eux et esperait arriver la premiere. Mais il y eut un cri :
-Le Hareng a gagné !
-Ce miserable ! dit la Sole, la bouche tordue de jalousie.
Et, depuis ce jour, elle a gardé la bouche dordue !

a demain
Bisous
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  grainedefolie Sam 29 Oct - 11:20

hello dotie , je vois que tu as trouvé les smilies sympas et ^'éléphant à ailes m'avait fait penser à la rubrique des petits , merci pour les histoires , je fête aujourd'hui l'anniversaire de Nathan , avec ses amis , bisous , ce soir je lui raconterai une histoire , grainedefolie 676
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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Dim 30 Oct - 10:37

Coucou,

je suis tres contente que les histoires te plaise !! :fdf:

Dimanche 30 Octobre 2005 fif

La fée du chant

Il y a bien longtemps, la fée du chant décida d'appendre à chanter à tout les peuples d'Asie centrale et elle les invita à se rendre, un soir, dans une oasis.
Les Karakalpi, qui arriverent en premier, l'écoutérent chanter toute la nuit et apprirent des milliers de chansons.
A contraire, les Khirgisi et les Turcomani qui habitaient tres loin arriverent juste à temps pour entendre les dernieres chansons.
Les Sarti, qui habitaient encore plus loin, arriverent quand le spectacle était deja fini. Ils entendirent que les hurlement des chiens sous la lune et il crurent que c'etaient les chants de la fée.
Depuis ce jour, et aujourd'hui encore, les Karakalpi sont d'extraordinaires chanteurs : ils connaissent d'innombrables chants tout pleins de sentiments.
Les Khirgisi et les Turcomani ont une façon de chanter plus ordinaire et monotone.
Quand aux Sarti, ils chantent vraiment comme les chiens, car ils croient imiter la voix de la fée alors qu'ils imitent en realite, les hurlements des chiens, que leurs ancetres ecouterent ce soir la !

a demain
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Lun 31 Oct - 10:28

Coucou,

:qpq:

Lundi 31 Octobre 2005


Les pommes de terre bouillies :fdf:


Amir était parti chercher fortune et quand il revint, des années plus tard, il était devenu immensément riche. Un marchand décida d'en profiter et lui demande un million en paiement de la douzaine d'oeufs durs qu'il lui avait vendue, autrefois, à credit. Mais Amir refusa de payer un prix pareil et le marchand l'attaqua en justice.
Le jour de l'audience, Amir se présenta tres en retard. Le proces avait deja commencé et il entendit le marchand qui exposait son cas.
-Je lui ai demande un million, disait-il, car des douze oeufs, auraient pu naitre douze poussins qui serait devenus des poules et des coqs et qui se seraient reproduits. Cette fois, j'aurais eu au moins vingt-quatre poussin et, ainsi de suite, tous les ans. Aujourd'hui, j'aurais une énorme basse-cour.
Le juge se tourna vers l'autre mais il lui demanda d'abord la cause de son retard.
-J'ai fait bouillir mes pomme de terre et je les ai semaas afin d'avoir une bonne recolte, expliqua Amir
-Depuis quand séme-t-on des pommes de terre bouillies? lui demanda le juge.
-Depuis que les oeufs durs donnent des poussins, votre Honneur, repondit Amir.

A demain

Dotie flower



lop

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Mar 1 Nov - 22:01

Coucou,

:qpq:

Mardi 1 Novembre 2005 :fdf:


La Mangouste fidèle

Dans un village de l'Inde, Indi et Lavea vivient tranquillement avec leur bébé. Un jour, Lavea dit à son mari :
-Occupe-toi du bébé pendant que je vais au fleuve !
Indi s'installa auprés du berceau et le bébé s'endormit bientôt. Peu de temps aprés, arriva un messager du palais royal qui ordonna à Indi de le suivre : Il devait témoigner en faveur d'un ami. Indi confia alors le bébé à la Mangouste que les deux époux avaient à la maison comme, nous, nous avons un chat. Et, de même que les chats chassent les rats, les Mangoustes n'hésitent pas à combattre les serpents.
Immediatement, la Mangouste se mit à monter la garde à côté du berceau. Soudain, un python entra par la fenêtre et s'approcha du berceau; la mangouste l'attaqua.
Quand Indi rentra et retrouva la Mangouste, la gueule et les pattescouvertes de sang, il s'imagina tout de suite que l'animal avait attaqué son bébé. Mais lorsqu'il vit l'enfant paisiblement endormi et l'enorme python mort, il compris tout !
Il en aima encore plus son animal courageux et apprit qu'il ne fallait jamais douter d'un ami fidèle !

A demain Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Mer 2 Nov - 10:02

Coucou,
:qpq:


Mercredi 2 Novembre 2005


Les aventures de Caroline la tortue


Il était une fois une tortue qui s'appelait Caroline.
Caroline a envie de découvrir le monde. Le jour de sa naissance, elle découvre la mer et ses habitants. Elle rencontre Richard la pieuvre, Lisa le poisson multicolore et plein d'autres animaux qui deviennent ses amis.
Un jour, Caroline décide de traverser la mer. Les dangers sont nombreux dans la mer, attention Caroline.
Le jour dit, Caroline s'en va. Au bout de 3 jours de nage, elle commence à avoir très faim et se met donc à la recherche de nourriture. Après avoir mangé trois ou quatre gros poissons, Caroline reprend sa route. Au cinquième jour se dessine à l'horizon une île. Pressée d'arriver, Caroline accélère l'allure.
Une patte, deux puis trois et quatre pattes, Caroline est sur l'île. Elle a faim, très faim et goûte beaucoup de nouvelle nourriture. Après un bon repas, une bonne sieste!
A la nuit tombée Caroline décide de partir à la découverte de l'île. Arrivée au sommet, un grand bruit se fait entendre.
Caroline se cache et regarde d'où vient le bruit. Elle voit des hommes, le capitaine Crochet et ses pirates fêtent leur victoire sur un bateau qu'ils ont coulé. Un trésor est au milieu de leur ronde avec deux prisonniers. Caroline a peur, mais veut délivrer les deux hommes.
Notre tortue voyageuse redescend sur la plage pour prendre conseil auprès du roi de la mer, Flèche d'Or le dauphin. Flèche d'Or veut bien la recevoir dans son palais d'or et de coquillages. Caroline lui raconte son histoire :
" Après un long voyage je suis arrivée sur l'île des coquillages et j'ai vu le Capitaine Crochet avec deux prisonniers. Il faut les délivrer à tout prix, mais je ne sais pas comment faire sans ton aide. Veux-tu m'aider ? "
" Bien sur, as-tu un plan ? " lui demande Flèche d'Or
Caroline explique alors son plan :
" Il faut encercler le bateau avec les requins Malin et envoyer une troupe de crocodiles Tic-Tac sur la plage. Quand ils voudront revenir au bateau ils se feront croquer par les crocodiles et les requins. "
" Je convoque tout de suite mon armée de crocodiles Tic-Tac et les requins Malin. "
Le lendemain matin au petit jour, les deux armées étaient au garde à vous devant le palais.
Le Roi pris la parole :
" Mes chers soldats, un grand danger nous guette, le capitaine Crochet est de retour sur l'île des coquillages. Votre mission les requins, est d'encercler le bateau et celle des crocodiles, d'aller sur la plage. Il ne doit plus rester un seul pirate.
Pendant ce temps Caroline ira délivrer les deux prisonniers et les emmènera au bateau. "
Tout le monde passa à l'action, le commandant Malin emmène ses soldats autour du bateau et le commandant Tic-Tac sur la plage pour croquer du pirate.
Dans l'après-midi le capitaine Crochet décide de reprendre la mer. Arrivé sur la plage, les crocodiles leur foncent dessus et les rabattent vers la mer. Caroline délivre les deux prisonniers, les amène à la barque et les dirige vers le bateau où Flèche d'Or les attend. Pendant ce temps le capitaine Crochet et ses pirates se retrouvent prisonniers entre les requins et les crocodiles. Ils n'en font qu'une bouchée! Seul Crochet arrive à rejoindre la plage.
Sur le bateau les deux prisonniers mettent les voiles en remerciant Caroline et le Roi de la mer.
Sur la plage, le capitaine Crochet se retrouve prisonnier de l'île avec pour seule compagnie, les crocodiles Tic-Tac.
Pour fêter leur victoire, Flèche d'Or invite Caroline à passer l'hiver dans son royaume.
Au début du printemps Caroline est triste, la plage où elle est née lui manque. Après avoir dit au revoir à Flèche d'or et à tous ses amis du royaume de la mer Caroline prend le chemin du retour.
Elle nage, nage, nage de plus en plus vite. Une patte, deux puis trois et quatre pattes. Caroline est de retour sur la plage de Toulon. Richard et Lisa sont heureux de la revoir, ils font la fête pendant 2 jours.

A demain pour une nouvelle histoire

Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Jeu 3 Nov - 8:54

Coucou,

:qpq:

Jeudi 3 Novembre 2005

Mademoiselle Blanche

Blanche était aussi belle et riche que paresseuse et désordonnée. Elle jetait ses vetements quand il nelui plaisaient plus et quand elle filait, elle gâchait plus de lin qu'elle n'en utilisait.
Sa servante, Rose, se dépêchait de ramasser et de mattre dans sa poche les morceaux de laine ou de soie que Mademoiselle, sa maîtresse, jetait à la poubelle.
Un jour, un jeune homme demanda la main de Blanche et comme il était beau, gentil et tres empressé, le mariage fut vite conclu. on organisa un egrande f^te où toutes les amies de Blanche furent invitées. Rose y alla, elle aussi, vêtue d'une robe qu'elle avait tissée et cousue elle-même. Quand Blanche l'aperçut, elle se moqua d'elle
-Regardez un peu cette petite servante qui vient danser habillée de mes rebuts !
Son fiancé l'entendit et lui demanda ce qu'elle voulait dire. maisquand elle lui eut expliqué, le jeune homme réfléchit un moment puis se mit à rire et dit
-Blanche et tre paresseuse
alors que Rose est tres courageuse, c'est donc elle que je veux épouser !
Et c'est ainsi que Blanche la paresseuse perdit un fiancé et que Rose la courageuse trouva un mari !

a demain
pour une nouvelle histoire
pip
Dotie
flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  grainedefolie Jeu 3 Nov - 20:02

merci pour chaque jour et mille bises pour toi grainedefolie wew
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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Ven 4 Nov - 11:12

Coucou,

:qpq:

Merci grainedefolie c un plaisir de venir chaque jour

Vendredi 4 Novembre 2005

L’île imaginaire :jui:

Perdu au beau milieu de l’océan, un endroit inconnu de tous les marins de la terre se trouve une île aux milles merveilles. On n’y accoste pas en bateau seulement dans un rêve. L’île est bordée de fleurs magnifiques et gigantesques, les oiseaux sont de milles couleur et tous les plus gracieux les uns que les autres Pour ceux qui la connaissent, ils vous diront q’elle est magique et que tous les souhaits y sont réalisés. Elle n’est fréquentée que par des enfants; mais pour y parvenir c’est tout un art. Il faut d’abord que le chérubin dessine le pays fantastique comme il le voit dans son esprit puis qu’il glisse son dessin sous son oreiller et en s’endormant, s’il a été sage durant la journée, le voyage pourra commencer. Beaucoup d’aventures et d’enchantements l’attendent. Bien sûr, il y a une telle demande que tous n’y vont pas mais il suffit d’y croire et de le mériter pour qu’un jour lui aussi puisse être le héros ou l’héroïne d’une fabuleuse histoire.

a demain
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  grainedefolie Ven 4 Nov - 19:12

c'est ma préférée 8ee 8ee j'ai envie d'essayer moi aussi
je vais faire un dessin hihi
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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Sam 5 Nov - 13:33

Coucou,

:qpq:

Moi aussi c'est ma prefere uiu

Samedi 5 Novembre 2005

Rêve qui se réalise

Il était une fois, une jeune fille du nom de Mélodie avait un grand rêve. Bien qu'elle n'avait que 5 ans, son rêve était de devenir un grande chanteuse. Elle en parla avec ses ami(e)s et tous rirent d'elle. Mélodie était toute triste. Elle pense qu'à aller voir sa maman.
- Maman... Mes ami(e)s rient de moi à l'école...
- Et pourquoi donc ma chérie?
- Parce que je leur aie dit que mon rêve c'est de devenir une grande chanteuse.
- Ah oui? Qu'est ce que tu aimerais que je fasse pour que ce rêve se réalise???
- Je ne sais pas maman.
La maman de Mélodie voulait à tout pris que sa fille réalise son rêve un jour. Dès que cette jeune fille eu 10 ans, elle l'inscriva à la corale de sa paroisse. À son premier jour, elle fut déjà remarquer par son talent. De nombreuses personnes alla féliciter Mélodie.
- Oh Mélodie. Tu chante vraiment bien. je suis sûr qu'un jour tu va devenir une très grande chanteuse.
Mélodie était toute contente que des gens qu'elle ne connaissait pas avant, viennent lui dire qu'elle est une très bonne chanteuse.
7 ans ont passé déjà et Mélodie est toujours pas chanteuse. Elle demande pour Noël une guitare. Une guitare, ca coûte très cher...
- Maman. J'aimerais comme cadeau à Noël une guitare.
- Mélodie, on n'a pas les moyens de t'acheter une guitare. Cela coûte vraiment cher. J'ai une idée, pourquoi irais-tu pas te trouver un travail et avec les écomomies que tu as déjà, il t'en faut pas encore beaucoup pour t'acheter une guitare comme tu veux.
Mélodie était déçue mais comprenait sa mère. Une guitare coûte vraiment chère. Elle alla donc se trouver un travail.
1 an passa et enfin Mélodie avait enfin l'argent qui lui fallait pour acheter sa guitare. Elle alla tout de suite l'acheter et la montra à sa mère.
- Elle est très belle ta guitare ma chérie. Je te l'avais dit que tu allais l'avoir avec l'argent que tu gagnerais.
Mélodie s'empressa d'écrire des chansons. Des chansons sur tout ce qu'elle a vécue et même une chanson sur sa mère qui lui a tant aider pour devenir ce qu'elle veut être.
1 an après, Mélodie est reconnue par le monde entier. Elle voyage s'en arrêt et surtout, elle amenne sa mère à tous les spectacles qu'elle fait. Mélodie est vraiment contente de ce qu'elle est devenue tandis que sa mère est vraiment fière de la jeune fille qu'elle a élever.

Pour tous vous dire. Cette Histoire et pour vous faire comprendre que les rêves peuvent se réaliser. Il faut seulement de l'espoir.

a demain
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Dim 6 Nov - 12:05

Coucou,

:qpq:

Dimanche 6 Novembre 2005

Yaël
Pour écrire à Arnaud Rollet

C'est un petit garçon tout plein de taches de douceur.
Ses cheveux, toujours coiffés en bataille, sont de la couleur des blés…
Mais, est-il important de mieux le décrire ?
Non, ce qui importe, c’est de savoir ce qu’il fait, ce petit garçon tout plein de taches de douceur.
Yaël est un ange.
L’ange de tous les enfants du monde.
Dans des textes très anciens, il est écrit que lorsqu’il naît, un enfant sait déjà presque tout. Il parle toutes les langues, connaît déjà beaucoup d’histoires.
Mais, ce serait trop facile ! Tout au long de la vie, les hommes doivent apprendre, toujours et encore !
C’est pour cela que le jour de la naissance d’un petit enfant, Yaël vient le visiter, lui pose son doigt sur les lèvres en lui disant : « Chut ! Tu as encore bien le temps d’apprendre, ne va pas trop vite ! »
Alors, à ce moment, le petit enfant lui sourit. Il est d’accord avec lui. Il est d’accord pour faire semblant d’oublier ce qu’il sait déjà et recommence à apprendre, tous les jours, tous les jours.
Ce qu’il apprend, cela dépend de beaucoup de choses. Chaque petit enfant a une vie bien à lui, déjà bien remplie.
Dans certains pays, dans certaines familles, pourtant, les enfants apprennent la vie des adultes beaucoup trop vite.
Yaël est toujours là, à côté d’eux, et les aide de son mieux. Mais c’est un ange encore bien jeune et parfois, il ne peut pas...
Il est pourtant toujours là, à côté d’eux et les aide de son mieux. C’est pour cela qu’il arrive à Yaël d’être triste, parfois. Alors, certains soirs, essaye de penser un peu à lui. Il le saura et cela le réconfortera beaucoup. Peut-être même viendra-t-il te voir, quand tu dormiras et il te protègera.
Tu as remarqué qu’au milieu de tes lèvres, il y a deux petites fossettes ?
C’est la marque du doigt de Yaël, l’ange de tous les petits enfants du monde.

J'adore cette Histoire !!!!! 8ee

A bientot
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Lun 7 Nov - 18:38

coucou,

:qpq:


Lundi 7 Novembre 2005


Le moulin magique

Un texte de Brigitte Fournier



Il y a très très longtemps , dans un petit village au bord de l’océan, inaccessible des hommes, vivaient de gentils lutins.
Au fil des ans, ils avaient acquis la bonté et une grande sagesse. Tous étaient très âgés mais chez les lutins, l’âge ne compte pas, car personne ne peux les apercevoir.
Heinkel, est l’ancien du village, le gardien de la magie, le protecteur des objets magiques récoltés depuis toutes ces longues années et âgé de plus de deux cent-cinquante ans.
Evidemment, c’est le plus sage et le plus malin.
Ce matin-là était différent, Heinkel savait que quelque chose allait se passer!
Très tôt, bien avant que les lutins ne partent pour leur journée de travail, un inconnu arriva dans le village ce qui embêtât beaucoup Heinkel car jamais auparavant, aucun être humain n’était parvenu jusqu'à eux.
En général, les hommes avaient peur des pouvoirs magiques des lutins, et cela arrangeait bien Heinkel car son travail était d’aider les enfants qui en avaient besoin et surtout pas les hommes qui passaient leurs temps à ce battre et détruire la nature.
Après chaque guerre, les lutins remettaient de l’ordre suivant leur spécialité .
Hayden guérissait les arbres après l’arrachage des branches que les hommes utilisaient pour la confection des arcs et des flèches .
Heutel s’occupait des fleurs qui avaient été piétinées sans aucune pitié.
Harold soignait les animaux , il les connaissait tous et tous lui faisaient totalement confiance .
Et Horgen rendait l’eau limpide et cristalline afin que les enfants puissent la boire et s’y baigner sans aucun problème.
Voilà pourquoi l’arrivée de cet inconnu dérangeait beaucoup le village.
- Qui es-tu et que viens-tu faire ici demanda Heinkel.
- Je m’appelle Macimo, je suis pécheur. Cette nuit, il y a eu une tempête et mon bateau a fait naufrage. J’ai eu la chance de m’accrocher à un tonneau et le courant m’a fait échouer ici.
Ce qu’il ne dit pas aux lutins, car il en avait peur lui aussi, c’est que son bateau n’avait pas chaviré, mais que l’équipage l’avait jeté par dessus bord, car il dérobait l’eau et la nourriture.
- Ne t’inquiète pas lui dit Horgen, tu es un pécheur, tu vis sur l’eau et bien moi, je vais t’aider!
- C’est très aimable à toi mais comment peux-tu m’aider ? demanda Macimo.
- Je vais réunir le village et leur demander de l’aide pour te construire un nouveau bateau.
- Il n’est pas question de couper mes arbres afin de lui construire un bateau gronda Hayden.
Heinkel promis de réfléchir a une solution pour le nouveau bateau mais actuellement tous avaient du travail.
Tard, après la veillée, alors que chacun avait regagné son lit, Harold alla trouver Heinkel et lui dit : "Aujourd’hui, j’ai soigné une mouette qui avait une aile abîmée et elle m’a raconté ce qui est vraiment arrivé à Macimo. C’est un menteur et un voleur et nous ne pouvons pas l’aider pour son bateau".
- Je le sais déjà lui répondit Heinkel, le vent me l’a soufflé à l’oreille et je sais quoi faire pour nous en débarrasser et qu’il quitte à jamais notre village. Dans mon coffre magique, je possède un objet qui va m’aider fortement dans la réalisation de mon stratagème.
Dans ce coffre, il y avait énormément de choses : la boîte de couleurs de l’arc en ciel, le sac de poudre d’étoiles, les graines magiques qui font que l’herbe soit si tendre et verte et d’autres merveilles encore qu’il gardait précieusement.
Le matin, un peu avant le réveil des lutins, Heinkel pris dans son coffre le moulin magique.
C’était un moulin ordinaire fait de bois avec une jolie poignée en porcelaine blanche et de petites fleurs bleues dessinées sur le tiroir .
Heinkel avait un petit sourire et ses yeux pétillaient de malice.
Son grand âge ne l’empêchait pas de jouer de vilains tours à ceux qui le méritaient, d’ailleurs, certains s’en souviennent encore.
Heinkel s’installa sur un banc a côté de l’arbre favori de Hayden et attendit le moment propice pour mettre son plan à exécution.
Il n’attendit pas longtemps, en effet, peu de temps après, les lutins arrivèrent accompagnés de Macimo.
C’est à ce moment que Heinkel commença à tourner lentement la poignée du moulin magique.
Macimo n’en croyait pas ses yeux .
Du tiroir du moulin sortaient des dizaines de pièces d’or et plus il tournait la poignée plus les pièces sortaient.
Il en sortait tellement qu’elles roulèrent jusqu’aux pieds de Macimo qui s’empressa de les ramasser afin de vérifier qu’il ne rêvait pas. Jamais il n’aurait pu croire qu’une telle chose existait, il s’approcha de Heinkel ou plutôt du moulin, car une méchante idée venait de lui traverser l’esprit.
Heinkel regarda Macimo et vit dans ses yeux que son plan avait fonctionné , il était content , Macimo allait bientôt quitter le village.
- Crois-tu avoir assez de pièces pour acheter ton nouveau bateau , lui demanda Heinkel.
- Je pense que cela suffira , répondit Macimo, les yeux toujours fixés sur le moulin. Mais comment fais-tu ,il y a sûrement une formule magique pour avoir autant d’or.
- C’ est très simple, lui répondit Heinkel, il suffit de demander ce dont tu as besoin et le moulin te le fournira.
Ce qu’Heinkel avait omis volontairement de dire a Macimo c’est que le moulin ne fonctionnait qu’a la condition que l’utilisateur soit très poli. Pour le faire fonctionner il fallait lui dire "S’il te plaît, petit moulin, donne moi ceci ou cela" de même pour qu’il arrête "s’il te plaît , petit moulin arrêtes toi ."
La nuit venue, lorsque le village était profondément endormi, Macimo se leva et s’habilla sans faire de bruit .
Il se dirigea vers la maison d’Heinkel, car à la minute même où il avait vu le moulin et les pièces d’or, il avait décidé de le voler.
Il pensait "Je vais êtres riche, je ne devrai plus jamais travailler, je construirai la plus grande et la plus belle maison qui existe, j’épouserai la plus jolie fille de la région et je deviendrai le chef de mon village ! Avec toutes ces pièces d’or, enfin les villageois me respecteront."
Il s’empara du moulin et se sauva à toute vitesse. Il couru jusqu’au bord de l’océan où la veille il avait repéré une petite barque. Il mit l’embarcation à l’eau et le moulin bien à l’abri sous le siège. Il commença à ramer de toutes ses forces afin de s’éloigner le plus rapidement possible du village.
Il rama toute la nuit, se guidant avec les étoiles fin de ne pas se perdre.
Macimo était pressé de rentrer chez lui et de pouvoir faire toutes les choses auxquelles il avait rêvé.
Tout en ramant, il réfléchit "Si j’utilise le moulin au village et qu’un voisin le voit, il va certainement vouloir le voler donc, je vais demander au moulin de sortir toutes les pièces qu’il a dans le tiroir ensuite, je le cacherai dans les rochers après, je rentrerai riche et fière chez moi."
Aussitôt dit, aussitôt fait, Macimo sort le moulin qu’il avait mis à l’abri sous le siège de la barque, tourne la poignée et dit : "Donne-moi beaucoup d’or ."
Evidemment , Macimo ne sait pas qu’il faut dire "S’il te plaît, petit moulin, donne moi de l’or."
Comme il continue à tourner la poignée de plus belle, ce ne sont pas des pièces d’or qui sortent du tiroir mais du sel des kilos et des kilos de sel.
Macimo crie : "Arrête - toi, mais arrêtes ce n’est pas du sel que je demande mais de l’or."
Macimo crie de plus en plus fort , il s’énerve , mais rien n’arrête le petit moulin.
La barque s’alourdit et cela risque de la faire chavirer .
Macimo se rend bien compte qu’il s’est fait avoir par les lutins et ne sachant plus quoi faire, il prend le petit moulin et le jette le plus loin possible dans l’eau.
Depuis ces nombreuses années, le petit moulin continue a déverser du sel dans la mer, personne n’a pu lui demander poliment de s’arrêter et voilà pourquoi toutes les eaux des océans sont salées.

a demain
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Mar 8 Nov - 10:54

Coucou,

:qpq:

Mardi 8 Novembre 2005


Pour écrire une histoire :fdf:

Texte écrit par Nicole

Il était une fois deux enfants, Gribouille et Gribouillis. Tous les soirs, avant de s’endormir, Maman venait leur raconter une histoire. Elle prenait son panier à histoires, sa baguette magique et hop ! elle remuait les mots dans son panier, elle tirait le fil d’une histoire.
Les yeux fermés, Gribouille et Gribouillis écoutaient ….
L’histoire terminée, ils partaient, tous les deux pour le pays des rêves !
Ils auraient bien voulu, eux aussi, inventer des histoires, pour charmer leurs copains. Mais, quand ils essayaient de mélanger des mots dans le panier, c’était la vraie pagaille ! On entendait des hurlements :
- où est le masculin ?
- et le s du pluriel ?
- comment voulez-vous que nous parlions, il manque le verbe !
Aucune histoire ne sortait de cette bagarre !
Ils allèrent trouver Maman et lui demandèrent la recette pour écrire un conte.

Oh ! dit Maman, c’est une très longue histoire !

Tout d’abord, il faut aller cueillir les mots dans le jardin des idées, bien les choisir, prendre des mots qui s’entendent, plusieurs de chaque espèce, ne pas oublier les verbes, ni les adjectifs pour le plaisir, ajouter quelques pronoms, éviter les répétitions, les poser délicatement au fond du panier, attendre qu’ils fassent connaissance.

Quand les ingrédients auront mijoté, mettre les majuscules, vérifier si les s du pluriel sont là, s’ils n’ont pas pris la place des x, refaire quelques accords, écouter la musique des mots. Quand tout semblera harmonieux, vous prendrez votre baguette, un stylo fera l’affaire, vous remuerez doucement, vous appellerez le premier mot, les autres suivront.
Votre histoire sera réussie, si elle s’écoule comme un ruban,
sans nœud, sans accroc.
Alors, vous pourrez la raconter à vos amis.

Comment saurons-nous s’ils apprécient ?

Comme vous, ils s’envoleront au pays des rêves !

BONNE NUIT LES PETITS



A demain pour une autre histoire

Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Mer 9 Nov - 11:16

Coucou,

:qpq:

Mercredi 9 Novembre 2005

Réparateur de soleil

Paloma

Il était une fois, loin de son domaine quotidien un enfant s’engageait sur un chemin enchanteur.
Un jour qu’il allait mal son refuge fût l’écriture de poèmes.
Il découvrit qu’il aimait écouter le silence , s’imprégnait de cette solitude , il cherchait a se dissoudre dans la terre .
Ses poèmes saluaient la belle nature; nature qui trop oublié et victime des hommes au cœur dur.
Ses mots étaient destinés a la mer , aux océans a la lune mais surtout au soleil.
Cet astre que les poètes oublient , ils trouvent la lune plus romantique.
L’enfant aimait le soleil , et quand celui-ci se faisait rare qu’il restait caché dans ses nuages pendant plusieurs jours en hiver .
Lui petit poète lui écrivait des poèmes .
En voici un :

Soleil mon ami
Astre parmi les astres
Oublié des poètes
Maltraité par les hommes

Toi qui réchauffe
Des pays plus que d’autres
Tes rayons rectilignes
Sont pour moi des signes

Ton moral se sombre
Au passage de l’hombre
Au passage de la pluie
L’arc-en-ciel te réjouit
Soleil mon ami

Astre parmi les astres
Voici un petit hommage
Pour réparer les dommages
Petit poète ….

a demain
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  grainedefolie Jeu 10 Nov - 0:06

dotie, sans jamais te lasser , tu viens chaque jour enchanter le forum , je te remercie , une petite fée , bonne soirée , merci pour les enfants qui te lisent ou te liront m'eme moi je les transmets , bisous grainedefolie
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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Jeu 10 Nov - 12:45

Coucou,

:qpq:

Merci grainedefolie !!!!!!

Jeudi 10 Novembre 2005

Le tableau de la paix

Offert par Henri Verbert

Il y avait une fois un roi qui avait offert un prix à l'artiste qui
peindrait le plus beau tableau représentant la paix. Beaucoup d'artistes
essayèrent.
Le roi regarda tous les tableaux, mais deux seulement lui plurent vraiment
et il dut choisir entre les deux.
Le premier tableau représentait un lac calme. Le lac était un miroir parfait,
et de hautes montagnes harmonieuses l'entouraient. Le ciel était tout bleu
avec des nuages blancs et cotonneux. Tous ceux qui virent ce tableau
pensaient qu'il était une parfaite représentation de la paix.
L'autre tableau comportait également des montagnes. Mais ces montagnes étaient abruptes et rocailleuses. Il y avait par-dessus un sombre ciel de pluie traversé d'éclairs. A côté de la montagne coulait une cascade écumeuse. Ce n'était pas du tout un paysage de paix mais lorsque le roi le regarda, il vit derrière la cascade un tout petit buisson qui poussait dans une crevasse. Dans le buisson, une maman oiseau avait construit son nid. Là, au milieu du bouillonnement de l'eau écumeuse, la maman oiseau reposait dans son nid... la paix absolue.
Quel tableau, croyez-vous, remporta le prix?
Le roi choisit le second tableau.
Savez-vous pourquoi?
Parce que, expliqua le roi, la paix ne signifie pas être à un endroit où il
n'y a aucun bruit, aucun problème, aucune difficulté.
La paix signifie être au milieu de toutes ces choses et malgré tout être
calme dans votre cœur.
C'est ça, le vrai sens de la paix...

a demain

Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Ven 11 Nov - 14:00

Coucou,

:qpq:

Vendredi 11 Novembre 2005

La marmite de la voisine

Une femme emprunta une marmite à sa voisine et la lui rendit le lendemain avec une autre plus petite
- c'est la fille de la marmite, lui dit-elle, elle est née cette nuit.
La femme la prix avec plaisir.
Deux jours plus tard, sa voisine lui emprunta encore la marmite mais, cette fois, elle ne la lui rendit pas.
Quand sa proprietaire alla la lui réclamer, sa voisine lui repondit :
- Elle est mort !
- Mais une marmite ne peut pas mourir !
- Et pourquoi pas ? dit l'autre, si elle peut avoir des enfants, elle peut aussi mourir !

A demain
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Sam 12 Nov - 13:59

Coucou,

:qpq:


Samedi 12 Novembre 2005

La Vie

Il était une fois une petite fille qui était bien malheureuse.
Elle était malheureuse bien qu’elle recelait en elle une infinité de trésors : amour, amitié, tendresse, joie, disponibilité, écoute, don, partage. Rien dans sa vie ne semblait fonctionner comme elle l'avait souhaité.

Lorsqu’elle voulait parler, les mots qui sortaient de sa bouche étaient tels des épées ; cinglants, coupants, froissants, désagréables. Elle aurait tellement aimé pouvoir dire des belles et bonnes choses mais à chaque fois, elle devenait agressive, méchante parfois même violente. Personne ne l’aimait.

Elle voulait avoir des amis. Vivre toute seule, c'est tellement difficile...

Pourtant, elle donnait et se donnait aux autres sans compter. Elle avait essayé une multitude de choses : associations caritatives, clubs de sports, mouvements de jeunesse, travaux les plus divers, sans espoir. Au bout d’un moment, les autres, saturés, s’en allaient. Elle se retrouvait alors plus seule et encore plus désespérée qu’avant. D’échecs en échecs, sa vie se poursuivait.

Un jour, qu’elle avait un chagrin plus gros que les autres chagrins, elle s’installa sur un talus, un peu à l’écart de la ville. C'était un jour d'automne quand l'air est encore doux mais frissonne déjà un peu.

Un vieux monsieur qui jouait de l’orgue de barbarie vint à passer. Dès le premier regard, ce musicien des rues comprit qu’elle portait en elle à la fois un trésor et un fardeau. Comme il avait beaucoup souffert lui aussi dans sa vie d’errance, il se dit qu’il pourrait peut-être l’aider. Il s’approcha d’elle et lui demanda :
- Comment se fait-il que tu portes un si lourd fardeau ? Si tu le veux, je peux t’aider. Ne dit-on pas qu’une joie partagée est une double joie ; et qu’un chagrin partagé est un demi-chagrin ?

Elle esquissa un petit sourire mais ses yeux restaient tristes. Sans bien réfléchir, elle se mit à raconter à cet homme inconnu ses chagrins et ses espoirs, ses peurs et ses échecs. Elle parla longtemps, longtemps sans rien cacher, sans agressivité, ce qui ne lui était encore jamais arrivé.

L’homme ne disait rien. Il se contentait de sourire.

Elle raconta son enfance, sa vie présente et ses espoirs pour demain.

L’homme ne disait toujours rien et souriait toujours.

Après un long silence il prit la parole et lui dit :
- Le danger dans les relations avec les autres est d'avoir des attentes selon nos critères de ce que ça devrait être. Prendre des comportements pour des acquis. On a plus de chances d'être déçu si on a ce genre d'attente plutôt que de prendre chaque chose comme un petit "quelque chose" de positif à chaque fois... un petit soleil dans sa journée.... une grenouille dans un lac... une graine de sésame sur son big mac... un piment sur sa pizza... un grain de fromage dans sa poutine... du ketchup sur son pâté chinois... de la peinture de couleur dans son appartement... une augmentation sur son salaire... un gif sur une page web... un trèfle à 4 feuilles dans un gazon... un cheveu noir dans ses cheveux blancs...

Il était tard, il lui fallait rentrer.

Elle quitta l’inconnu sans avoir bien compris le sens de ses paroles mais elle y repensa souvent.

" Prendre chaque chose comme un cadeau, sans attendre rien d’autre ".

Ce n’était pas par hasard s’il s’était trouvé sur son chemin, car il n’y a pas de hasard. Il lui avait délivré un message qui allait changer le cours de son existence.

Je ne sais ce qu’il est advenu d’elle mais si vous la rencontrez, donnez-moi de ses nouvelles.

Dotie
flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Dim 13 Nov - 12:11

Coucou,

:qpq:


Dimanche 13 Novembre 2005

PRÊTE POUR LA GRANDE AVENTURE ? :fdf:
Nicole

Il était une fois, une goutte d’eau, ronde comme une perle, elle se prélassait sur une feuille.
Le soleil la faisait briller de tous ses feux.
Elle était arrivée là, venant d’un petit nuage, au cours d’une pluie fine.
A l’aube, elle glissait lentement sur le bord de la feuille, craignant d’avoir le vertige.
Si elle restait plus longtemps, la chaleur allait la renvoyer vers un autre nuage, or elle voulait tenter la grande aventure !
On lui avait raconté qu’elle pouvait faire un très long voyage, à condition d’être patiente, avant de retourner dans le ciel d’où elle retomberait sur terre et pourrait recommencer indéfiniment ce périple !
Mais, si elle n’y prenait garde, elle retournerait aussitôt d’où elle était venue !
Un papillon s’approcha, s’éloigner vite, ne pas lui servir de petit déjeuner ! se faire toute petite contre la tige, mais……
tout à coup : plouf ! Elle atterrit sur une primevère toute jaune. Elle huma le parfum délicat, s’en imprégna.
La tête commençait à lui tourner et sans y prendre garde, elle roula sur la terre du sous-bois. Elle entendit comme un clapotis, tout près d’elle : des milliers d’autres gouttes sautaient sur les cailloux.
Vite les rejoindre, ne pas rester seule dans ces lieux inconnus !
-Où allez-vous si joyeuses ?
-Nous partons pour la grande aventure, veux-tu venir avec nous ?
Comment refuser une invitation si gentiment formulée ?
-Je viens !
Et la petite cascade continua sa route, en prenant au passage, d’autres gouttes esseulées.
Tout à coup, un grand trou noir !
On y va ! on y va ! crièrent les premières. Attention ! baissez les têtes, ouvrez grand vos yeux !
Certaines se mirent à trembler et leur chant se fit plus doux. On aurait dit un train fantôme, sillonnant sous terre, se frayant un passage entre les pierres. De temps en temps, le convoi dérangeait quelques vers de terre ou autres insectes sous terrains. Un petit lérot qui avait creusé son terrier tout près, s’enfuit, ne voulant pas être emporté par le convoi.
Il y avait des cris, des silences, des peurs et des inquiétudes, mais beaucoup de curiosité pour la suite .
Où tout cela allait-il les conduire ?
Une lueur apparut au loin :
-La sortie, j’aperçois la sortie, hurla le chef de train. Mais un précipice les attendait avant leur retour vers la lumière.
Floc ! Floc ! Floc! Firent-elles en tombant sur les cailloux.
Une source avait jailli !
Elles se regroupèrent pour former un petit ruisseau qui se faufila entre les touffes
d’herbes, sous les branches des arbres et qui toujours descendait emporté par le courant.
Soudain le paysage changea. Des près fleuris bordaient le ru qui était obligé de se tordre, de serpenter pour pouvoir avancer.
D’autres rus les rejoignirent et une petite rivière se forma.
Petite goutte, complètement stupéfaite par ce voyage, se remplissait les yeux, ouvrait grand ses oreilles et n’osait parler de peur de perdre sa place.
Au-dessus d’elle, des barques naviguaient, à côté d’elle, des poissons
mangeaient , certains essayant de remonter à contre courant.
Sur la rive des enfants jouaient.
De loin en loin d’autres rivières les rejoignaient, et maintenant on ne voyait plus que de l’eau : à droite, à gauche, devant, derrière….
Petite goutte était un peu inquiète !
-Où allons –nous ? demanda-t-elle à sa voisine.
-Vers la mer, ignorante ! ne sais-tu pas que le grand océan nous attend ?
Elle n’osa plus rien demander, et, voyant que les autres se laissaient transporter, elle fit de même.
C’est ainsi qu’elle atteignit la mer !
Des grosses vagues la secouèrent et l’envoyèrent sur le sable.
Las, le soleil brûlant l’expédia vers un cumulus qui se prélassait au-dessus de la plage.
Ce voyage là était terminé, mais elle reviendrait sur terre et recommencerait !
Maintenant elle était prête pour la grande aventure ! 8ee

A demain
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Jeu 24 Nov - 14:08

Coucou je suis de retour !!!!

:qpq:

voici une tres long histoire pour me faire pardoner


Jeudi 24 Novembre 2005 (et les autres jours ou je ne suis pas venue :fdf: )

Les six frères cygnes
Conte de Grimm

Un jour, un roi chassait dans une grande forêt. Et il y mettait tant de cœur que personne, parmi ses gens, n'arrivait à le suivre. Quand le soir arriva, il s'arrêta et regarda autour de lui. Il s'aperçut qu'il avait perdu son chemin. Il chercha à sortir du bois, mais ne put y parvenir. Il vit alors une vieille femme au chef branlant qui s'approchait de lui. C'était une sorcière.
- Chère dame , lui dit-il , ne pourriez-vous pas m'indiquer le chemin qui sort du bois ?
- Oh ! si, monsieur le roi, répondit-elle. je le puis. Mais à une condition. Si vous ne la remplissez pas, vous ne sortirez jamais de la forêt et vous y mourrez de faim.
- Quelle est cette condition ? demanda le roi.
- J'ai une fille, dit la vieille, qui est si belle qu'elle n'a pas sa pareille au monde. Elle mérite de devenir votre femme. Si vous en faites une reine, je vous montrerai le chemin.
Le roi avait si peur qu'il accepta et la vieille le conduisit vers sa petite maison où sa fille était assise au coin du feu. Elle accueillit le roi comme si elle l'avait attendu et il vit qu'elle était vraiment très belle. Malgré tout, elle ne lui plut pas et ce n'est pas sans une épouvante secrète qu'il la regardait. Après avoir fait monter la jeune fille auprès de lui sur son cheval, la vieille lui indiqua le chemin et le roi parvint à son palais où les noces furent célébrées.
Le roi avait déjà été marié et il avait eu de sa première femme sept enfants, six garçons et une fille, qu'il aimait plus que tout au monde. Comme il craignait que leur belle-mère ne les traitât pas bien, il les conduisit dans un château isolé situé au milieu d'une forêt. Il était si bien caché et le chemin qui y conduisait était si difficile à découvrir qu'il ne l'aurait pas trouvé lui-même si une fée ne lui avait offert une pelote de fil aux propriétés merveilleuses. Lorsqu'il la lançait devant lui, elle se déroulait d'elle-même et lui montrait le chemin. Le roi allait cependant si souvent auprès de ses chers enfants que la reine finit par remarquer ses absences. Curieuse, elle voulut savoir ce qu'il allait faire tout seul dans la forêt. Elle donna beaucoup d'argent à ses serviteurs. Ils lui révélèrent le secret et lui parlèrent de la pelote qui savait d'elle-même indiquer le chemin. Elle n'eut de cesse jusqu'à ce qu'elle eût découvert où le roi serrait la pelote. Elle confectionna alors des petites chemises de soie blanche et, comme sa mère lui avait appris l'art de la sorcellerie, elle y jeta un sort. Un jour que le roi était parti à la chasse, elle s'en fut dans la forêt avec les petites chemises. La pelote lui montrait le chemin. Les enfants, voyant quelqu'un arriver de loin, crurent que c'était leur cher père qui venait vers eux et ils coururent pleins de joie à sa rencontre. Elle jeta sur chacun d'eux l'une des petites chemises et, aussitôt que celles-ci eurent touché leur corps, ils se transformèrent en cygnes et s'envolèrent par-dessus la forêt. La reine, très contente, repartit vers son château, persuadée qu'elle était débarrassée des enfants. Mais la fille n'était pas partie avec ses frères et ne savait pas ce qu'ils étaient devenus.
Le lendemain, le roi vint rendre visite à ses enfants. Il ne trouva que sa fille.
- Où sont tes frères ? demanda-t-il.
- Ah ! cher père, répondit-elle, ils sont partis et m'ont laissée toute seule.
Elle lui raconta qu'elle avait vu de sa fenêtre comment ses frères transformés en cygnes étaient partis en volant au-dessus de la forêt et lui montra les plumes qu'ils avaient laissé tomber dans la cour. Le roi s'affligea, mais il ne pensa pas que c'était la reine qui avait commis cette mauvaise action. Et comme il craignait que sa fille ne lui fût également ravie, il voulut l'emmener avec lui. Mais elle avait peur de sa belle-mère et pria le roi de la laisser une nuit encore dans le château de la forêt.
La pauvre jeune fille pensait : « je ne resterai pas longtemps ici, je vais aller à la recherche de mes frères. » Et lorsque la nuit vint, elle s'enfuit et s'enfonça tout droit dans la forêt. Elle marcha toute la nuit et encore le jour suivant jusqu'à ce que la fatigue l'empêchât d'avancer. Elle vit alors une hutte dans laquelle elle entra ; elle y trouva six petits lits. Mais elle n'osa pas s'y coucher. Elle se faufila sous l'un deux, s'allongea sur le sol dur et se prépara au sommeil. Mais, comme le soleil allait se coucher, elle entendit un bruissement et vit six cygnes entrer par la fenêtre. Ils se posèrent sur le sol, soufflèrent l'un sur l'autre et toutes leurs plumes s'envolèrent. Leur peau apparut sous la forme d'une petite chemise. La jeune fille les regarda bien et reconnut ses frères. Elle se réjouit et sortit de dessous le lit. Ses frères ne furent pas moins heureux qu'elle lorsqu'ils la virent. Mais leur joie fut de courte durée.
- Tu ne peux pas rester ici, lui dirent-ils, nous sommes dans une maison de voleurs. S'ils te trouvent ici quand ils arriveront, ils te tueront.
- Vous ne pouvez donc pas me protéger ? demanda la petite fille.
- Non ! répondirent-ils, car nous ne pouvons quitter notre peau de cygne que durant un quart d'heure chaque soir et, pendant ce temps, nous reprenons notre apparence humaine. Mais ensuite, nous redevenons des cygnes.
La petite fille pleura et dit :
- Ne pouvez-vous donc pas être sauvés ?
- Ah, non, répondirent-ils, les conditions en sont trop difficiles. Il faudrait que pendant six ans tu ne parles ni ne ries et que pendant ce temps tu nous confectionnes six petites chemises faites de fleurs. Si un seul mot sortait de ta bouche, toute ta peine aurait été inutile.
Et comme ses frères disaient cela, le quart d'heure s'était écoulé et, redevenus cygnes, ils s'en allèrent par la fenêtre.
La jeune fille résolut cependant de sauver ses frères, même si cela devait lui coûter la vie. Elle quitta la hutte, gagna le centre de la forêt, grimpa sur un arbre et y passa la nuit. Le lendemain, elle rassembla des fleurs et commença à coudre. Elle n'avait personne à qui parler et n'avait aucune envie de rire. Elle restait assise où elle était et ne regardait que son travail. Il en était ainsi depuis longtemps déjà, lorsqu'il advint que le roi du pays chassa dans la forêt et que ses gens s'approchèrent de l'arbre sur lequel elle se tenait . Ils l'appelèrent et lui dirent :
- Qui es-tu ?
Elle ne répondit pas.
- Viens, lui dirent-ils, nous ne te ferons aucun mal.
Elle secoua seulement la tête. Comme ils continuaient à la presser de questions, elle leur lança son collier d'or, espérant les satisfaire. Mais ils n'en démordaient pas. Elle leur lança alors sa ceinture ; mais cela ne leur suffisait pas non plus. Puis sa jarretière et, petit à petit, tout ce qu selle avait sur elle et dont elle pouvait se passer, si bien qu'il ne lui resta que sa petite chemise. Mais les chasseurs ne s'en contentèrent pas. Ils grimpèrent sur l'arbre, se saisirent d'elle et la conduisirent au roi. Le roi demanda :
- Qui es-tu ? Que fais-tu sur cet arbre ?
Elle ne répondit pas. Il lui posa des questions dans toutes les langues qu'il connaissait, mais elle resta muette comme une carpe. Comme elle était très belle, le roi en fut ému et il s'éprit d'un grand amour pour elle. Il l'enveloppa de son manteau, la mit devant lui sur son cheval et l'emmena dans son château. Il lui fit donner de riches vêtements et elle resplendissait de beauté comme un soleil. Mais il était impossible de lui arracher une parole. A table, il la plaça à ses côtés et sa modestie comme sa réserve lui plurent si fort qu'il dit :
- Je veux l'épouser, elle et personne d'autre au monde.
Au bout de quelques jours, il se maria avec elle. Mais le roi avait une mère méchante, à laquelle ce mariage ne plaisait pas. Elle disait du mal de la jeune reine. « Qui sait d'où vient cette folle, disait-elle. Elle ne sait pas parler et ne vaut rien pour un roi. » Au bout d'un an, quand la reine eut un premier enfant, la vieille le lui enleva et, pendant qu'elle dormait, elle lui barbouilla les lèvres de sang. Puis elle se rendit auprès du roi et accusa sa femme d'être une mangeuse d'hommes. Le roi ne voulut pas la croire et n'accepta pas qu'on lui lit du mal. Elle, cependant, restait là, cousant ses chemises et ne prêtant attention à rien d'autre. Lorsqu'elle eut son second enfant, un beau garçon, la méchante belle-mère recommença, mais le roi n'arrivait pas à la croire. Il dit : « Elle est trop pieuse et trop bonne pour faire pareille chose. Si elle n'était pas muette et pouvait se défendre, son innocence éclaterait. » Mais lorsque la vieille lui enleva une troisième fois son enfant nouveau-né et accusa la reine qui ne disait pas un mot pour sa défense, le roi ne put rien faire d'autre que de la traduire en justice et elle fut condamnée à être brûlée vive.
Quand vint le jour où le verdict devait être exécuté, c'était également le dernier des six années au cours desquelles elle n'avait le droit ni de parler ni de rire et où elle pourrait libérer ses frères chéris du mauvais sort. Les six chemises étaient achevées. Il ne manquait que la manche gauche de la sixième. Quand on la conduisit à la mort, elle plaça les six chemises sur son bras et quand elle fut en haut du bûcher, au moment où le feu allait être allumé, elle regarda autour d'elle et vit que les six cygnes arrivaient en volant. Elle comprit que leur délivrance approchait et son coeur se remplit de joie. Les cygnes s'approchèrent et se posèrent auprès d'elle de sorte qu'elle put leur lancer les chemises. Dès qu'elles les atteignirent, les plumes de cygnes tombèrent et ses frères se tinrent devant elle en chair et en os, frais et beaux. Il ne manquait au plus jeune que le bras gauche. À la place, il avait une aile de cygne dans le dos. Ils s'embrassèrent et la reine s'approcha du roi complètement bouleversé, commença à parler et dit :
- Mon cher époux, maintenant j'ai le droit de parler et de te dire que je suis innocente et que l'on m'a faussement accusée.
Et elle lui dit la tromperie de la vieille qui lui avait enlevé ses trois enfants et les avait cachés. Pour la plus grande joie du roi, ils lui furent ramenés et, en punition, la méchante belle-mère fut attachée au bûcher et réduite en cendres. Pendant de nombreuses années, le roi, la reine et ses six frères vécurent dans le bonheur et la paix.

a bientot
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  Invité Lun 28 Nov - 12:05

Coucou,

:qpq:

Lundi 28 Novembre 2005

Pourquoi les crocodiles ne mangent pas les poules ? 8ee

(AFRIQUE)

Une poule avait pour habitude de descendre chaque jour au bord de la rivière afin d’y chercher de la nourriture. Un crocodile la regardait l’estomac envieux de la voir si grassouillette.

Un jour, le crocodile vient près d'elle et menace de la manger mais la poule s’écrie :
- Frère, O mon frère, ne faites pas cela ! Le crocodile en est si troublé qu'il s'en va, pensant qu'il pouvait bien être le frère de la poule.
Chaque matin, il revient près de la rive la rive, bien décidé à faire de la poule son repas. Chaque matin, la poule se met à crier :
- Frère, O mon frère, ne faites pas cela ! Et le crocodile s’en va en maudissant la poule.

Comment puis-je donc être le frère de cette poule, se demande un jour le crocodile ? Elle vit sur la terre, et moi je vis dans l'eau. Elle est dodue et moi je ne suis qu’un sac d’os. Je vais aller voir mon ami Mbambi afin de l'interroger et régler une fois pour toute la question.

Le crocodile se met en route. Il n'était pas encore bien loin quand il rencontre son ami Mbambi une sorte d’immense lézard.

- Mbambi, lui dit-il, je suis très troublé. Tous les jours, une jolie poule grasse vient au fleuve pour manger; chaque jour, quand je veux la saisir et l'emporter chez moi pour la manger, elle m'effraie et m'appelle son frère. Je me suis dit que je ne pouvais pas rester ainsi plus longtemps et j’allais trouver Mbambi pour tenir une palabre avec lui.

- Oh ! tu n’es qu’un sot, répond Mbambi. Tu ne dois rien faire de tout cela car autrement, tu perdrais tes paroles et tu montrerais que tu es un ignorant. Ne sais-tu pas, mon cher crocodile, que les canards vivent dans l'eau et pondent des œufs et que les tortues en font de même. Moi aussi, d'ailleurs, je ponds des œufs, tout comme les poules. Et toi, mon stupide ami, que fais-tu donc ? Nous sommes donc tous frères dans un certain sens. C'est pour cette raison que les crocodiles ne mangent pas les poules.

A bientot
Dotie flower

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zec Re: Une histoire par jour

Message  grainedefolie Lun 28 Nov - 21:20

hello dotie , le lundi serait-il un peu plus relax , comment vas-tu ? ici en suisse c'est l'hiver , la neige était là mon réveil ljk la route n'était pas facile , ce soir je suis au théâtre , je fais de la mise en scène dans une petite troupe ( un café théâtre) dommage que tu vives si loins , nous jouons une pièce le 31 décembre, ce qui ne m'empêche pas de continuer mes bijoux , je vais mettre des photos en fin de semaine , bizzzzzz
grainedefolie

merci pour les petits ess ess
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